Éveiller, Comprendre, Libérer.
Pour ne plus transmettre ce qui vous a détruit.
Il y a des douleurs qu’on porte sans savoir d’où elles viennent.
Des sensations d’étouffement, de blocage, de nœud à l’intérieur. On les traîne comme des valises qu’on n’a jamais ouvertes, et dont on aurait même oublié l’existence. Pourtant, elles sont là, bien présentes.
Parfois très anciennes. Parfois héritées. Parfois silencieuses.
Et malgré tous les mots posés en thérapie, malgré les livres, les réflexions, les compréhensions intellectuelles… rien ne bouge vraiment.
Il y a quelque chose, au-delà de la pensée, qui retient, qui attache, qui emprisonne encore.
Et puis… un jour, presque sans prévenir, un geste émerge.
Pas un grand bouleversement. Pas une révolution.
Juste un mouvement, comme une impulsion de vie.
Tu écris une lettre.
Tu jettes un objet dans l’eau.
Tu plantes un arbre, sans trop savoir pourquoi.
Tu brûles un souvenir… ou un silence.
Et là, quelque chose cède.
Pas dans la tête. Pas dans le mental.
Mais plus profond. Dans le ventre. Dans le cœur. Dans les tripes.
Un espace qui se relâche. Une tension qui s’effondre. Une paix inattendue qui s’installe.
Ce que la parole ne pouvait pas atteindre, le symbole l’a touché.
C’est ça, le langage des actes symboliques.
Et c’est ce langage que l’inconscient comprend le mieux.
Les actes symboliques ne sont pas des rituels magiques à faire pour “attirer le positif” ou “nettoyer son karma” en trois étapes.
Non. Ils sont des réponses profondes de l’âme, des gestes posés à des endroits où aucun mot ne pouvait descendre.
Ils viennent parler à l’enfant blessé en nous, à nos ancêtres qui n’ont jamais pu dire, aux mémoires enfouies dans les plis du silence.
Tu n’as pas besoin d’avoir toutes les réponses pour les poser.
Tu n’as pas besoin de croire en une religion, une méthode, ou un système.
Il suffit d’être là.
De sentir que c’est le moment.
Et de laisser le geste dire ce que tu ne pouvais pas formuler autrement.
On croit souvent que la guérison passe par la compréhension.
Et c’est vrai, en partie. Comprendre, c’est éclairer. C’est mettre de la lumière sur les zones d’ombre.
Mais il y a des blessures qui ne se guérissent pas par la logique.
Elles se guérissent par le corps. Par l’émotion. Par le symbole.
Notre inconscient n’a pas le langage des mots. Il a le langage des images, des sensations, des gestes.
Il comprend quand tu fermes une porte. Quand tu jettes une pierre. Quand tu coupes une mèche de cheveux.
Il comprend quand tu décides, non pas en pensée, mais en acte.
Et à ce moment-là, il libère.
Il relâche ce qu’il retenait.
Il transforme, silencieusement, mais profondément.
Ce que tu n’as jamais pu dire à ta mère.
Ce que tu n’oses pas avouer à ton père.
Ce qui t’a blessé(e), trahi(e), humilié(e)… et que tu as gardé à l’intérieur pendant trop longtemps.
Écris-le. Sans filtre. Sans censure. Sans peur d’être méchant(e) ou trop dur(e).
Et quand la lettre est écrite…
Ne la poste pas.
Ne la relis pas dix fois.
Brûle-la. Ou enterre-la.
Parce que ce n’est pas à l’autre que tu parles.
C’est à toi-même. À ton inconscient.
À ton enfant intérieur qui attend depuis des années que tu lui donnes le droit de parler.
Il y a des objets qui sont chargés.
Des photos, des bijoux, des vêtements, des livres.
Tu le sens dans ton ventre. Ils portent des mémoires. Des liens.
Des loyautés.
Parfois, ce simple objet suffit à te maintenir attaché(e) à une histoire, une personne, un ancêtre, un trauma.
Alors… rends-le.
Offre-le à la terre.
Laisse-le partir.
Tu peux l’enterrer, le brûler, le laisser dans un lieu sacré.
Mais surtout : fais-le en conscience. Avec un mot d’adieu. Une intention.
Une phrase comme :
“Je rends ce fardeau. Je te libère. Je me libère.”
Ton prénom te relie à ta lignée.
Parfois, il t’a été donné en mémoire d’un mort, d’un non-dit, d’un désir parental que tu n’as jamais choisi.
Reprends-le. Ou choisis un prénom d’âme si tu en ressens l’appel.
Mais dans tous les cas, dis-le à haute voix.
Répète-le. Regarde-toi dans un miroir.
Dis :
“Je suis [ton prénom]. Je suis moi. Je m’appartiens.”
Tu verras… quelque chose va se redresser en toi.
Quelque chose va s’aligner.
Il ne s’agit pas ici d’un rituel mystique.
Il s’agit d’un acte de souveraineté intérieure.
Un geste concret. Réel. Vécu.
Un geste qui dit :
“Je ne subis plus. Je choisis.”
“Je ne porte plus. Je rends.”
“Je n’attends plus. Je m’accorde la permission.”
Et ça, aucun psy, aucun coach, aucun thérapeute ne peut le faire à ta place.
C’est ton geste. Ta libération. Ton passage.
Tu n’es pas seule.
Ce que tu ressens a du sens, une origine, une mémoire.
Je peux t’aider à poser les mots, à éclairer les racines, et à libérer ce qui ne t’appartient pas.
Il suffit d’un premier pas. Un rendez-vous. Une prise de conscience.
Et tout peut changer.
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