Éveiller, Comprendre, Libérer.
Pour ne plus transmettre ce qui vous a détruit.
Que se passe-t-il quand un enfant naît après la perte d’un autre ?
Quand une grossesse s’est arrêtée trop tôt…
Quand un enfant est mort avant d’avoir grandi…
Quand une âme est partie sans qu’on ait eu le temps de faire son deuil…
Dans de nombreuses familles, ces événements restent secret.
On évite d’en parler. Par pudeur. Par douleur. Par peur de raviver la blessure.
Et pourtant…
Il arrive qu’un enfant soit conçu dans cette période de vide, de deuil ou de silence.
Un enfant qu’on espère…
Un enfant qu’on accueille avec amour, mais aussi avec l’espoir parfois inconscient qu’il répare ce qui a été perdu.
On appelle cela, en psychogénéalogie, un enfant de remplacement.
Ce n’est ni une faute, ni un drame.
Mais c’est une réalité invisible, qui peut marquer profondément la construction identitaire.
Le terme a été introduit en psychanalyse, puis enrichi par les travaux d’Anne Ancelin Schützenberger, pionnière de la psychogénéalogie.
Un enfant de remplacement, c’est un enfant né après un deuil familial non digéré, souvent dans un temps très rapproché :
fausse couche
mort subite du nourrisson
décès d’un frère ou d’une sœur
IVG ou IMG
mort brutale d’un proche
disparition d’un être aimé
Sans que cela soit dit ni même pensé clairement, l’inconscient familial projette sur cet enfant un rôle symbolique : combler un vide, apaiser une douleur, ramener la joie.
Mais ce rôle peut devenir un poids.
Car au lieu d’être pleinement soi, on grandit dans un mélange flou d’attentes, de mémoires et de loyautés invisibles.
Tu peux avoir grandi sans jamais entendre parler de cette perte.
Et pourtant, certains ressentis ou difficultés profondes peuvent te mettre sur la voie.
Un sentiment de manque existentiel, de ne jamais être "plein", même dans les moments heureux.
Comme si tu n’avais jamais su vraiment pourquoi tu étais là. Comme si tu devais "prouver que tu mérites d’exister".
Dès que tout commence à bien se passer, quelque chose en toi freine, casse, renonce. Comme si la réussite était interdite.
Cauchemars récurrents, réveils brusques, peurs inexpliquées au coucher… l’inconscient parle souvent la nuit.
Tu portes le prénom d’un aïeul décédé ? Ta date de naissance correspond à celle d’un autre disparu ? Ton corps manifeste des symptômes qu’un autre a portés ?
Difficultés à se fixer, à s’engager, à construire. Une impression de flotter ou de vivre en pointillés.
Tu te sens souvent "de trop", pas choisi, ou en conflit avec l’amour. Comme si une autre présence invisible prenait ta place.
Parce que la douleur liée à la perte d’un enfant est immense.
Et souvent, refoulée.
Il n’est pas rare que les parents, pour se protéger, ne parlent jamais de la fausse couche.
Ou qu’un deuil infantile ait été vécu par une génération précédente… et oublié consciemment, mais transmis inconsciemment.
Ce qui n’est pas dit s’inscrit ailleurs :
dans les dates, dans les prénoms, dans les maladies, dans les silences…
Et parfois… dans la mission invisible confiée à l’enfant suivant.
🧬 Tu es né juste après une perte familiale non intégrée
🧬 Ton prénom, ta date ou tes initiales rappellent un défunt
🧬 Tu ressens un mal-être profond, sans explication logique
🧬 Tu vis des schémas de deuil, de chute, ou de sacrifice
🧬 Tu sens que tu portes quelque chose qui ne t’appartient pas
✨ Question d’éveil : As-tu le sentiment de vivre ta vie… ou celle de quelqu’un d’autre ?
La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible de rendre ce rôle à l’histoire familiale.
Et de reprendre sa juste place dans la vie.
Voici les premières clés pour amorcer ce chemin de libération :
Quand un défunt est reconnu, nommé, réintégré dans la mémoire familiale, il cesse d’errer dans l’invisible.
Une lettre à l’âme de celui ou celle que tu crois remplacer.
Pour dire ce que tu ressens. Pour rendre ce qui ne t’appartient pas. Pour te choisir enfin.
Y intégrer les fausses couches, les enfants morts-nés, les décès précoces. Donner une place à chacun pour retrouver la tienne.
Brûler la lettre. Planter un arbre. Allumer une bougie. Offrir un objet.
Ce n’est pas magique, mais symbolique. Et le symbole parle à l’inconscient.
Certaines mémoires ne se libèrent pas seules.
Un accompagnement thérapeutique transgénérationnel peut ouvrir une porte là où tu tournais en rond.
Témoignages de libération
“Je portais toujours une sensation de trop-plein, comme si je n’étais pas seule dans mon corps. J’ai appris que ma mère avait fait une fausse couche avant moi. Nommer cet enfant m’a redonné ma place.”
Fabienne V.
“J’ai toujours échoué dans mes projets. Quand j’ai compris que je portais la mémoire d’un oncle mort tragiquement, et qu’on m’avait donné son prénom, j’ai pu lui rendre son destin… et commencer à écrire le mien.”
Christelle M.
Tu n’es pas là pour réparer.
Tu n’es pas là pour combler un vide.
Tu es là pour vivre ta propre vie.
✨ Je peux t’aider à y voir clair :
Chaque prénom porte un message, une dette, un espoir…
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