Tu portes le prénom d’un défunt ? Voici pourquoi tu ne t’es jamais senti(e) à ta place

Un prénom donné “par amour”, mais chargé de mort

On t’a donné le prénom d’un frère, d’une sœur mort-né(e), d’un oncle disparu trop jeune, ou d’un enfant que personne ne nomme.


“Pour faire vivre sa mémoire”, “en son honneur”, “parce que c’est beau”.


Mais en réalité, on t’a demandé d’occuper une place vide, de sauver une douleur, de continuer une vie interrompue.


Ce n’est pas un prénom. C’est une mission impossible.


Mais ce n’est pas une faute, ni une erreur. C’est une loyauté affective silencieuse.

En psychogénéalogie, ce prénom t’enferme dans un “mandat de substitution

Quand un enfant porte le prénom d’un défunt, il devient :

  • un double inconscient
  • un fantôme réparateur
  • un message posthume vivant

Et ce rôle, qu’il n’a jamais choisi, le programme pour :

  • se sentir de trop ou jamais légitime
  • vivre dans l’ombre de quelqu’un d’autre
  • régler une souffrance qui ne se dit pas

C’est l’enfant qu’on “remplace” — ou celui à qui on interdit inconsciemment d’exister pleinement.

Exemple clinique : Élise, double silencieuse

Élise porte le prénom de sa tante décédée à 6 ans d’un cancer foudroyant.


Ses parents ne l’ont jamais connue, mais l’ont toujours “pleurée à travers elle”.


Résultat :

  • Élise a grandi dans l’obéissance constante
  • Elle a développé des symptômes inexpliqués dès l’enfance
  • Et une impression constante : “je n’ai pas le droit d’être heureuse si elle ne l’a pas été”

Ce n’est qu’en visualisation guidée qu’Élise a pu rendre ce prénom à la tante… et choisir le sien.

Quels troubles sont liés à un prénom de défunt ?

Troubles les plus fréquemment observés :

  • problèmes de positionnement (toujours à côté de sa vie)
  • troubles de l’identité (ne pas savoir qui on est, avoir plusieurs facettes contradictoires)
  • troubles psychosomatiques (fatigue chronique, dérèglements, douleurs inexpliquées)
  • culpabilité existentielle (“je vis alors que l’autre est mort”)
  • troubles relationnels ou attirance pour des situations de perte/répétition du deuil
  • sabotage de la réussite ou de la joie

Et si tu pouvais honorer la mémoire autrement ?

Porter ce prénom ne t’oblige pas à disparaître.


Tu peux :

  • reconnaître l’histoire
  • donner une vraie place au défunt
  • et surtout… reprendre la tienne, pleine, vivante, libre.

Le prénom devient alors un point de passage, plus qu’une prison invisible.

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Tu n’es pas né(e) pour réparer, mais pour vivre

Porter le prénom d’un défunt, c’est être né(e) dans un lien interrompu.


Mais tu as le droit, aujourd’hui, de le nommer, de t’en libérer, et de redevenir vivant(e) dans ta pleine identité.


Tu ne répares pas leur passé. Tu ouvres ton avenir.

À propos

Bonjour 👋 Je suis Emilie Lucide, thérapeute en psychogénéalogie.


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