Éveiller, Comprendre, Libérer.
Pour ne plus transmettre ce qui vous a détruit.
Tu respires, mais tu as parfois l’impression d’étouffer.
Tu avances dans la vie, et pourtant quelque chose te freine, sans logique, sans raison apparente. Des angoisses surgissent, des schémas se répètent, ton corps crie… mais les médecins ne trouvent rien.
Et si ce que tu portais… ne t’appartenait pas ?
Et si le malaise que tu ressens venait d’un secret que quelqu’un, bien avant toi, a décidé d’enfouir sous le tapis de la honte et du silence ?
Un secret peut être si bien enterré qu’il finit par pousser des racines dans l’inconscient des descendants. Il ronge. Il murmure. Il détruit.
Un secret de famille, ce n’est pas juste « une histoire dont on ne parle pas ».
C’est un nœud de douleur, d’injustice, de culpabilité… encapsulé dans le silence. Et ce silence agit comme un poison lent.
Qu’il soit conscient (gardé volontairement sous silence) ou inconscient (refoulé, oublié, nié), le secret s’inscrit dans les cellules du clan.
Selon les travaux de Nicolas Abraham et Maria Torok, le secret non-dit s’enkyste dans le psychisme comme un “crypte”, et se transmet inconsciemment à travers les générations.
Les formes les plus courantes ?
un inceste tu
un avortement clandestin
un enfant abandonné ou adopté sous silence
une fausse filiation cachée
un suicide maquillé
une arrestation, un crime, une honte familiale
un amour interdit brisé par la loi ou la religion
Chacun de ces secrets crée une fracture. Un décalage. Un trou noir dans l’histoire. Et ce vide, l’inconscient familial cherche à le combler… souvent au prix d’un mal-être chez les générations suivantes.
Tu n’as peut-être jamais entendu parler de ce secret.
Mais ton corps, lui, a entendu. Et il te parle.
Maladies chroniques qui résistent à tous les traitements
Addictions soudaines, compulsions incontrôlables
Peurs viscérales, phobies sans origine identifiable
Impossibilité à s’engager en amour ou à avoir un enfant
Répétition de dates dramatiques (accidents, fausses couches, divorces…)
Sentiment d’être étranger à sa propre famille, ou de ne pas avoir le droit d’être heureux
Chaque symptôme peut être un appel, une tentative désespérée de mettre en lumière ce qui a été caché.
Dans certains cas, c’est même un enfant ou un petit-enfant qui porte le nom, la date de naissance, ou les blessures symboliques d’un ancêtre oublié.
C’est là que commence le travail de la psychogénéalogie.
Tu n’as pas besoin de tout savoir.
Tu n’as pas besoin que l’un des anciens parle enfin.
Tu peux amorcer la libération… même avec un arbre incomplet.
La psychogénéalogie n’a pas pour but d’accuser ou de remuer le passé pour faire mal. Elle vise à réparer les liens invisibles et à dénouer ce qui étouffe l’âme.
Voici ce qu’elle permet :
Repérer les zones de silence, les incohérences, les non-dits dans l’arbre généalogique
Identifier les prénoms, dates, métiers, maladies, qui se répètent étrangement
Comprendre les loyautés inconscientes qui nous poussent à échouer, à nous sacrifier, à renoncer à l’amour ou à la santé
Donner du sens à ce qui semblait absurde
Proposer des actes symboliques de réparation (lettres, rituels, changements de prénom, etc.)
Tu ne changes pas le passé.
Mais tu romps la chaîne.
Prends un instant. Respire. Et demande-toi :
Est-ce qu’il y a dans ma famille des histoires floues, des silences étranges, des sujets « tabous » ?
Est-ce que je ressens un poids, une culpabilité, une peur… sans cause identifiable ?
Est-ce que je répète des schémas que je ne comprends pas ?
Est-ce qu’on m’a donné un prénom lourd de sens ? Est-ce que j’ai changé de prénom ou de nom ?
Est-ce que j’ai l’impression de vivre à la place de quelqu’un d’autre ?
La vérité ne fait pas mal. Ce qui fait mal, c’est de vivre sans comprendre ce qu’on porte.
Tu n’es pas obligé de porter ce fardeau.
Tu as le droit de respirer.
Tu as le droit de t’en libérer.
Tu n’as pas besoin de tout savoir pour guérir.
Mais tu as besoin de regarder.
Avec bienveillance. Avec courage. Avec lucidité.
Un secret de famille peut rester caché des siècles.
Mais il finit toujours par frapper à la porte d’un descendant. Et si tu lis ces lignes… c’est peut-être que cette porte, c’est la tienne.
Tu peux être celui ou celle qui brise la chaîne.
Pas pour faire mal.
Mais pour respirer.
Et transmettre, enfin, autre chose que la peur et le silence.
Chaque prénom porte un message, une dette, un espoir…
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